vendredi 30 octobre 2009

Souffrance

Étouffer par une souffrance
Je n'arrive pas à m'en sortir
Tout ce qui touche à eux me fait souffrir
Pourquoi faut-il que tous ici touche à eux
Comme si je n'avais pas le droit d'être heureuse
Ou que je voulais rester souffrir
Je t'en supplie laisse-moi partir !
Oh Souffrance de mon cœur
Tu me sers trop fort
Les larmes coulent tout le long de mes joues
Elles descendent jusqu'à mon cou sans s'arrêter
Souffrance comme si tu fessais parti de moi
Je n'arrive pas à t'effacer

Histoire dune nuit, de ces bras!


Passer une nuit merveilleuse dans ses bras !
Pas besoin d'aller plus loin pour être bien !
Il m'a simplement serré contre lui,
Et ses lèvres sur les miennes !
Ça fessais si longtemps que je n'avais pas été bien !
Alors, pourquoi ?
Je n'ai pas pu le retenir près de moi
Et je l'ai laissé sans aller loin de moi
Sans même éveiller de le retenir
Je ne suis pas triste sans lui
Je n'ai pas eu le temps de m'attacher à lui
Mais si je lavais retenu ?
Peut-être aurais-je été heureuse pour changer

dimanche 11 octobre 2009

Je voudrais avoir des ailes!


Je voudrais avoir des ailes
Pour pouvoir m'envoler pas delà les routes
Observer encore
Les gens du monde d'en bas

Je voudrais avoir des ailes
Pour m'envoler et rêver !
Pénétrer les rêves de bonheur
De la population du monde des cieux

Je voudrais avoir des ailes
Pour m'envoler et oublier !
Oublier toutes les personnes !
Toutes celles qui vivent ici sur la Terre !

Je voudrais avoir des ailes
Pour m'envoler
Tout simplement pour voler
Voler plus haut
De plus en plus haut !

Des Questions !!


Des Questions on se pose toujours des tas de questions,
la plupart restent sans réponses ou d'autre en on trop !
Chacun donne sa réponse, certaine se ressemble,
d'autres sont totalement différentes,
mais à force de poser autant de questions,
on se perd dans les réponses!
Alors, j'ai une dernière question
Pourquoi poser t'en de question???

être avec toi!



J'aimerais tant pOuvOir te serrer cOntre mOi, te dire les chOses que tu ne sais pas, te prOuver que je ne mentirais pas.
Je vOudrais que tu sOis avec mOi. Je rêve de vivre l'irréel ! Effleurer tes lèvres, être dans tes bras !
Si seulement tu pOuvais devenir celui qui n'est plus uniquement dans mes rêves les plus dOux, celui que je pOurais aimer sans avOir à me cacher, celui qui sans le savOir me dOnnera la fOrce d'exister.
D'une façOn Ou d'une autre je devrais te le dire même si tu ne me crOis pas.
Je vOudrais tellement te prendre dans mes bras, te tenir la main dès que je le sOuhaiterais, savOir qu'avec tOi je serais bien !
POuvOir plOnger mes yeux dans les tiens pOur m'évader, rêver un peu, de tOi pOur ne pas trOp changer.
J'aimerais tant que mes rêves deviennent réalité ! POur t'embrasser sans jamais m'en lasser et pour que tu ne parte jamais trop loin de moi !

Il y a eu ... !


Il y a eu sa peau contre ma peau, son corps contre mon corps. Il y a eu mes joues chaudes apaisées par ses mains, sa main dans ma nuque, ses doigts dans ma bouche. Il y a eu son genou contre le mien, ses lèvres effleurant ma peau, son regard qui me scrute.

Il y a eu sa main dans la mienne, nos doigts qui s'enlacent, mes doigts sur sa peau. Il y a eu ma tête contre son épaule, mon front contre son torse, mes lèvres dans sa nuque. Il y a eu son nez dans mes cheveux, son front contre mon front, sa main serrant ma taille.

Il y a eu ses lèvres contre les miennes, sa langue dans ma bouche, la mienne dans la sienne. Il y a eu ma main sous sa chemise, mon regard plongé dans le sien, sa main caressant mon dos. Il y a eu des baisers tendres, des baisers passionnés, des baisers mouillés.

Il y a eu un baiser, un au revoir, une nuit à rêver, deux jours sans nouvel, des pensées pour lui, une panique, une peur. Il y a eu un message, une autre fille, des excuses, des douleurs, des pleurs, des questions, des ragots, du désespoir, des envies de se venger, lui avec elle, elle qui l'embrasse.

samedi 10 octobre 2009

Mon dernier rêve de toi!


Cette nuit j'ai rêvé de toi !
J'avais dû garder en mémoire le fait qu'un jour ça puisse être possible entre nous comme avant
Tu étais la près de moi, tu m'as pris la main si naturellement, tu m'as serré dans tes bras et ton visage c'est rapproché du mien pour que tes lèvres viennent effleurées les miennes.
Au comme j'étais bien, j'ai toujours été bien auprès de toi, je ne sais pas pourquoi !
Puis le matin est arrivé et le soleil m'a réveillé. Il m'a enlevé de tes bras.
Et quand j'ai réalisé que ça n'était qu'un rêve mes larmes se sont misent à couler !
Mon cœur ma fait mal et j'ai enfin compris ! Je n'ai pas eu le droit a beaucoup de temps dans tes bras et même si jamais je n'avais été aussi bien, je sais désormais que jamais je ne t'aurais rien qu'à moi et que plus jamais il n'y aura de moment comme ça !
Cette nuit j'ai rêvé de toi et c'était la dernière fois !

Aujourd'hui c'est l'automne!


Aujourd'hui c'est l'automne
Les feuilles vont commencer à tomber
Doucement, plus doucement encore
Pour s'envoler loin d'ici.
Toi qui étais là avant l'automne
Tu es tombé avant les feuilles
Pour t'en aller plus loin de moi.
Aujourd'hui c'est l'automne !
Et tu m'as abandonné
Comme les feuilles abandonnent leurs branches
Toi qui devrais être auprès de moi.
Le vent ta bercé loin de notre amour
Laissant mes larmes couler
Pour imiter les feuilles jaunies
Par le temps du bonheur
Resté dans le passé.
Aujourd'hui c'est l'automne !
Et je ne cesse de pleurer.

vendredi 9 octobre 2009

Si un jour ...


Si un jour tu me dis que tu m'aimes.
Je te croirais,
J'espère que tu ne mentiras pas !
Car moi je crois que je t'aime déjà !

Si un jour tu me dis que je te manque.
Je te croirais,
En espérant que ce sera vrai !
Mais moi tu me manques à chaque fois !

Si un jour tu me dis que tu penses à moi.
Je te croirais,
En me demandant si cela arrive souvent !
Car moi je ne pense qu'à toi !

Et quand tu auras dit tout ça,
Est-ce que tu me comprendras ?
Penseras tu plus à moi ?
Me mentiras tu encore une fois ?

Une larme d'amour!


Une larme d'amour lentement ruisselante Tout au long de ta joue d'une pâleur aveuglante Elle retrace les lignes sans vouloir les quitter Puis doucement vient mourir au pincement de tes lèvres Connait-elle la chance qu'elle a de pouvoir Effleurer ta peau que je ne voudrais qu'à moi!